Description du projet
| Création 2022 | Eglise Vieux Saint-Sauveur | Les Granges de Dîmes | Le Dansoir
« CORPS VIVANTS POUR UNE NATURE MORTE «
DANSE & PEINTURE
K
arine Saporta imagine « Corps vivants pour une nature morte » comme un « hommage ludique à cette mystérieuse vibration que seuls sont en mesure d’émettre les organismes qui constituent à un moment la chaîne du vivant. » Un nouveau défi chorégraphique inspiré par l’exposition, afin de « Composer… décomposer… recomposer l’équilibre fixé par le peintre … tel est le jeu auquel se livrent les corps. Tout le défi pour les danseurs étant de rapporter aux univers inanimés des peintures l’énergie du vivant… ».
Un spectacle « qui s’inscrit dans une somptueuse scénographie, fluide toute picturale, de toiles et de costumes imprimés de motifs se rapportant aux tableaux de l’exposition ». Un ballet d’aujourd’hui que Karine Saporta imagine déjà comme un feu d’artifices d’où la somptuosité ne sera pas exclue.. .»
» Paul & Virginie » – Henri Picou
« Nature Morte aux Poissons et aux Oignons » – Jean Siméon Chardin
19h : » Composition XI (nature morte) » – Jean Gorin
Le tableau est aux Franciscaines de Deauville, dans l’exposition « À table avec André Hambourg ».
Albert Jean Gorin était un peintre néoplasique et sculpteur constructiviste français. Il était un disciple de Piet Mondrian, et est resté fidèle au concept de géométrie rigide et d’utilisation des couleurs primaires, mais a repoussé les limites du néoplasticisme en introduisant des cercles et des diagonales. Il était connu pour ses reliefs tridimensionnels.
Mondrian considérait apparemment que les reliefs étaient une étape naturelle dans l’évolution de la peinture vers l’architecture. Il a encouragé Gorin à faire des reliefs. Gorin a commencé à explorer l’architecture et la décoration néoplasiques. Il a créé son premier relief néoplasique en 1930 et a créé une œuvre en trois dimensions pour le reste de l’entre-deux-guerres.
L’œuvre du constructiviste russe Kazimir Malevitch aura une influence majeure sur son œuvre, bien que secondaire à celle de Mondrian. En 1934, Gorin rejoint l’Association Abstraction-Création. En 1936, Gorin a contribué à la rédaction du dernier numéro de l’almanach Abstraction-Création — Art non figuratif, pour près de quatre cents membres.
Après la Seconde Guerre mondiale, il a commencé à créer des reliefs à l’aide d’avions placés dans l’espace, et a continué à étudier l’architecture.
« Corps vivants pour une nature morte »
Karine Saporta
Les Franciscaines
145b Av. de la République
14800 Deauville
Karine Saporta imagine « Corps vivants pour une nature morte » comme un « hommage ludique à cette mystérieuse vibration que seuls sont en mesure d’émettre les organismes qui constituent à un moment la chaîne du vivant. » Un nouveau défi chorégraphique inspiré par l’exposition, afin de « Composer… décomposer… recomposer l’équilibre fixé par le peintre… tel est le jeu auquel se livrent les corps. Tout le défi pour les danseurs étant de rapporter aux univers inanimés des peintures l’énergie du vivant… ». Un spectacle « qui s’inscrit dans une somptueuse scénographie, fluide toute picturale, de toiles et de costumes imprimés de motifs se rapportant aux tableaux de l’exposition ». Un ballet d’aujourd’hui que Karine Saporta imagine déjà comme un feu d’artifices d’où la somptuosité ne sera pas exclue…
Distribution
Conception, mise en scène et chorégraphie : Karine Saporta
Danseurs : Simone Giancola, Neda Hadji-Mirzei, Thibaut Carré, Albane Fro, Emmy Saumet
Musiques : Symphonies 90 et 91 de Joseph Haydn – « Les Quatre Saisons » d’Antonio Vivaldi (Le Printemps et l’Été) – « Le Mandarin merveilleux » de Béla Bartók – « Alabama Song » de Kurt Weill
Costumes :
Conception : Karine Saporta et Valerie Adda
Réalisation : Valérie Adda, Fatima Azzacourt(Cheffe d’atelier), Corine Godard, Émeline Jenger
Textes : extraits de « Paul et Virginie » de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre
Régisseur lumière et son : Sylvain Legendre
Production : Label Karine Saporta